Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ridha lhiba

  • Wing Chun en Tunisie

    *Un deuxieme stage avec Sifu Ali El kouni à été programmé entre mi mars et mi avril

    Photo Du stage wing chun à Tunis le 14 janvier 2014

    wing chun,tunisie,sfax,ridha lhiba,ali el kouni,kung fu,zied methenni

     

    L'association tunisienne d'aikido et budo

    organise un stage initiation au

    wing chun

    avec Sifu Zied Methenni 

    le 14 Janvier 2015 

    programme: de 10h a 12h et de 14h a 16h30

    (Nous serons a notre tour a Sfax pour diriger un stage aikido le 25 janvier 2015 )

     

    wing chun,tunisie,sfax,ridha lhiba,ali el kouni,kung fu,zied methenni

    Stage wing chun le 22 fevrier 2015

    à Sfax

    avec

    Sifu Ali El kouni 

    professeur de WING-CHUN à Lyon

     

     

    644388_400609613339936_1952069440_n.jpg

     

    1ere formation instructeur wing chun:

     

    L''objectif de faire connaitre le WIng Chun Kung Fu dans toute la tunisie,La 1ere session de formation de futurs professeurs de Wing Chun Kung Fu.

    Intervenant: Sifu Ridha LHIBA, Diplomé d'état en arts martiaux chinois externes, expert en Wing Chun Kung Fu,enseignant professionnel de WIng Chun en France et à Monaco.

     

    Quelques principes fondamentaux du Wing Chun :

    • Toujours protéger son centre que ce soit dans l’attaque ou la défense ;
    • Canaliser d’une manière constante la poussée des bras vers l’avant ;
    • Utiliser la force de l’adversaire pour la retourner contre lui ;
    • Utiliser les principes de déviation de force pour la défense et la ligne droite pour l’attaque ;
    • Lorsque le pont a été établi, rester collé aux avant bras de l’adversaire car l’information qui transite par le contact est plus rapide que celle qui transite par l’œil ;
    • Si la force adverse est trop grande, céder et utiliser son système de déplacement pour se restructurer ;
    • Si l’adversaire recule, le suivre et maintenir la pression ; ne pas le laisser reconstruire de nouveaux plans.

     

    Les coups, donnés à faible distance, n’ont pas besoin d’être accélérés par la pratique interne du Qi Gong. Cette pratique interne consiste à donner une forte secousse d’une amplitude réduite après avoir touché la cible à faible vitesse. C’est tout le corps qui produit cette onde de choc (le bras est le clou, le corps est le marteau), utilisant à la fois le poids du corps, la détente globale du corps utilisé comme un fouet et l’addition des forces de toutes les articulations. Ces qualités sont travaillées dans les trois formes, progressivement, jusqu’à en venir à réaliser le fondement du Qi Gong et de sa circulation dans les méridiens. Interne veut dire se maitriser soi-même et non pas maitriser son adversaire en premier.

     Les trois formes (Taos) :

    Siu nim tao « petite idée » : c’est la première et la plus importante forme en Wing Chun, qui enseigne les règles d’équilibre et de structure corporelle. Cette forme est généralement considérée comme une forme de Qi Gong complète, cette forme est fondamentale, sur laquelle le pratiquant revient sans cesse.

    Chum Kiu : « chercher le pont », « le pont coulant » ou encore « faire le pont ». Cette seconde forme se concentre sur les techniques de déplacements du corps total et les techniques d’entrée pour « combler le fossé » entre le pratiquant et son adversaire, ainsi que perturber sa structure et son équilibre. Cette forme permet d’apprendre les techniques fondamentales de défense. Les attaques de courte distance avec les coudes et les genoux sont aussi travaillées a ce stade.

    Biu Gee : « les doigts jaillissants » : La troisième forme est faite de techniques ultra courtes et ultra longues, coups de pieds bas et balayages et techniques dites d’urgence, pour contre-attaquer quand la structure et la ligne centrale ont été mises à mal ou que le pratiquant est gravement blessé. Le pratiquant va apprendre durant cette forme les techniques d’attaque.

     

    Les pratiquants avancés complètent ces formes à mains nues par trois autres formes : celle du mannequin, celle du bâton, et celle des couteaux.

    Le chi-sao « les mains collantes » :

    Le but du Chi-sao est de développer, ou de créer, des réflexes sensitifs pour réagir à la pression exercée par l’adversaire afin de se créer une ouverture pour frapper. Ces techniques de mains sont particulièrement efficaces, conçues pour le combat rapproché. Les bras restent souples au possible en liaison avec une pression constante vers l’adversaire, quoi qu’il tente, ce qui permet de dévier et contrôler facilement les coups afin de protéger son centre, et de placer ses propres frappes à la moindre ouverture de garde de l’adversaire.

    Des techniques similaires existent pour les jambes : Chi-gerk ou pieds collants, qui permettent d’éviter les tentatives de balayages et de projections adverses, elles permettent également de contrôler l’adversaire par une pression sur ses pieds et genoux. La technique d’entrainement pour le travail des pieds confère un meilleur équilibre ; l’enracinement se faisant par la pratique du Qi Gong.

    Le mannequin de bois :

    De la taille d’un homme, muni de 3 bras et d’une jambe. Il est utilisé par le pratiquant pour améliorer les déplacements, la vitesse et la précision des techniques, endurcir les membres mais surtout pour développer les sensations et réflexes des bras et jambes.

     Les armes :

    le bâton de 6 pieds et demi qui était la perche pour faire avancer les jonques fleuries. Le bâton de 7 pouces et demi, qui correspond au bâton des moines cultivant la terre du Shaolin.

    La paire de couteaux papillons : paire de couteaux d’appontage des bateliers de Hong Kong des célèbres jonques rouges des hakkas. Il s’agit historiquement d’une dérive de la paire de sabres courts chinois.


     

     

     

    1348402944711.jpg

     

    0 commentaire Lien permanent