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Cette année sera le 6ème stage d'Aïkido organisé au Shumeïkan dojo à BRAS du 2 au 8 mars 2015 dirigé par Mickaël MARTIN.
Lestage à lieu au dojo de Tamura senseï pendant une semaine, pratique le matin 9h30-12h00, les armes l'après-midi 16h30-18h00 et de nouveau pratique le soir 19h00-21h00.
Les stagiaires dorment et mangent au dojo, ce stage vous permet de faire l'expérience d'une complète immersion dans la pratique de l'aïkido et dans la vie du dojo comme si vous étiez "uchi deshi". Le stage est ouvert à tous niveau de pratique du débutant au confirmé.
Les repas sont préparés au dojo par un cuisinier professionnel le midi et le soir, possibilité de modifier le menu prévu si il y a des végétariens... Merci de le préciser lors de votre inscription.
Tarifs des repas: 110 € la semaine complète du stage, petit déjeuner, déjeuner et dîner compris.
Possibilité d'hébergement au dojo.
15 € par personne et par nuit en chambre de quatre lits. Les draps et couvertures sont fournis.
20 € par personne et par nuit en chambre à deux lits ou pour couple avec W.C. et douche privé.
le 24, 25 et 26 juin 2009 la JSD (Jeunesse Sportive Djijilienne) en collaboration avec la FAAM, Fédération Algérienne des Arts Martiaux, la Ligue de la wilaya de Skikda et la superbe orchestration de M. Bouyahyaoui et H. Belouhem, a organisé le 1er stage international d'aïkido sous la direction technique de Mickael Martin sensei, 4eme Dan et élève à demeure de Maitre Tamura, lui même 8 ème Dan d'aikido. Un stage sous le signe de l'amitié et du tourisme. En effet, les organisateurs ont réussi à mettre en valeur la beauté de la ville de Jijel ainsi que l'hospitalité remarquable de ses habitants.. plus de deux cent -200- participants, venus des quatre coins du pays, ont pu profiter de la beauté de jijel et de ses plages magnifiques. Le stage a été d'une grande richesse technique; les pratiquants de cet art martial ont pu s'abreuver de l'immense savoir de maitre N.Tamura, pas directement ! mais par personne interposée, en l'occurrence maitre Mickael Martin; un personnage humble et d'une immense modestie, ce qui fait de lui un artiste martial avéré.
Trois jours durant, les Tatamis de la salle Aberkane ont connu une fête sans précédant. La joie et la bonne humeur envahissaient les lieux, des jeunes aux yeux admiratifs, devant la splendeur des techniques, en voulaient encore plus. La présence des Maitres algériens, à leurs tête maitre Hamid Silem, 6eme Dan d'aïkido, n'a fait qu'amplifier la motivation des pratiquants algériens. Nul ne voulait que cette fête se termine, mais les trois jours sont passés!! déjà? et oui !!! Nous avons bien pratiqués, nous nous sommes bien amusés et nous sommes rentrés avec des appareils-Photos plein de souvenirs... rendez-vous très bientôt..
Sur l'invitation de Mr Hocine Daoud ; Mickael MARTIN dirigera un stage aikido à Skikda et ce du 15 au 18 octobre 2008
Concerant Mickael Martin:
C'est dans sa région natale, en Bretagne, que Mickaël Martin découvre l'Aïkido, à l'âge de 13 ans. A partir de là, cet Art Martial ne va plus le quitter.Sa rencontre en 1991, avec Toshiro SUGA et surtout avec TAMURA Senseï, ne fera qu'augmenter sa passion.Depuis 1996, il suit assidûmment tous les stages de TAMURA Senseï, dans toute la France.Il passera différents grades avec succés et obtiendra en 2006 le 4ème DAN d'Aïkido.Son arrivée à l'Ecole Nationale d'Aïkido, ainsi qu'à l'Aïkido Club des Allées,en 2002, lui permettra de vivre pleinement sa passion.Il va découvrir le Japon, ainsi que l'AÏKIKAÏ SO HOMBU en 2005. Pendant son séjour, sa rencontre avec un grand maître d'armes, KURODA Tetsuzan senseï, lui apportera énormément.Et maintenant, à travers un enseignement de qualité, il veut transmettre sa passion et surtout montrer les vrais valeurs de cet Art Martial qu'est l'Aïkido.
(email de mickael a souheil )
Bonjour Souheil,
Merci beaucoup pour ton acceuil en Tunisie, j'ai eu beaucoup de plaisir à te rencontrer et à pratiquer avec toi même si ce fut cours. Je vois que tu t'es beaucoup investi à développer l'Aïkido et tu mérites des encouragements. Je t'envoie le lien de mon nouveau site du dojo Shumeïkan il n'est pas encore fini mais le principal y est. Si tu as le temps tu peux laisser ta marque sur le livre d'or. http://www.aikido-budo.com Je te souhaite une bonne continuation, peut être je te verrai en Algérie en octobre si tu viens. A bientôt
Mickaël
Impression sur le stage:
Très bonne accueil, salle et infrastructure à la hauteur de l'événement, très bonne couverture médiatique (radio et presse écrite) .D'un point de vue technique Mickael a montré les bases selon Tamura sensei , j’étais aussi impressionné par le travail du sabre ( influence de Kuroda sensei ) .
C'est dans sa région natale, en Bretagne, que Mickaël Martin découvre l'Aïkido, à l'âge de 13 ans en 1989. A partir de là, cet Art Martial ne va plus le quitter. Sa rencontre en 1991, avec Toshiro SUGA et surtout avec TAMURA Senseï 8°dan, ne fera qu'augmenter sa passion.
Depuis 1996, il suit assidûment tous les stages de TAMURA Senseï, dans toute la France. En 2002, sur la proposition de Tamura senseï il intègre le Shumeïkan dojo "Ecole Nationale d'Aïkido" comme élève interne.
Son arrivée à l'Ecole Nationale d'Aïkido lui permettra de vivre pleinement sa passion et surtout de suivre au plus prêt l'enseignement de Tamura senseï. En 2005 il s'envole pour son premier voyage au Japon et découvre Kuroda senseï, Soke du Shinbukan Kuroda ryugi et un peu plus tard Kono Yoshinori senseï. Ces rencontres lui permettront d'affiner sa pratique.
Aujourd'hui Mickaël enseigne à Bras au Shumeïkan et à Marseille au Meïwa dojo. En plus de ses cours en semaine Mickaël donne plusieurs stages d'aïkido en France ainsi qu' à l'étranger.
*Un deuxieme stage avec Sifu Ali El kouni à été programmé entre mi mars et mi avril
Photo Du stage wing chun à Tunis le 14 janvier 2014
L'association tunisienne d'aikido et budo
organise un stage initiation au
wing chun
avec Sifu Zied Methenni
le 14 Janvier 2015
programme: de 10h a 12h et de 14h a 16h30
(Nous serons a notre tour a Sfax pour diriger un stage aikido le 25 janvier 2015 )
Stage wing chun le 22 fevrier 2015
à Sfax
avec
Sifu Ali El kouni
professeur de WING-CHUN à Lyon
1ere formation instructeur wing chun:
L''objectif de faire connaitre le WIng Chun Kung Fu dans toute la tunisie,La 1ere session de formation de futurs professeurs de Wing Chun Kung Fu.
Intervenant: Sifu Ridha LHIBA, Diplomé d'état en arts martiaux chinois externes, expert en Wing Chun Kung Fu,enseignant professionnel de WIng Chun en France et à Monaco.
Quelques principes fondamentaux du Wing Chun :
Toujours protéger son centre que ce soit dans l’attaque ou la défense ;
Canaliser d’une manière constante la poussée des bras vers l’avant ;
Utiliser la force de l’adversaire pour la retourner contre lui ;
Utiliser les principes de déviation de force pour la défense et la ligne droite pour l’attaque ;
Lorsque le pont a été établi, rester collé aux avant bras de l’adversaire car l’information qui transite par le contact est plus rapide que celle qui transite par l’œil ;
Si la force adverse est trop grande, céder et utiliser son système de déplacement pour se restructurer ;
Si l’adversaire recule, le suivre et maintenir la pression ; ne pas le laisser reconstruire de nouveaux plans.
Les coups, donnés à faible distance, n’ont pas besoin d’être accélérés par la pratique interne du Qi Gong. Cette pratique interne consiste à donner une forte secousse d’une amplitude réduite après avoir touché la cible à faible vitesse. C’est tout le corps qui produit cette onde de choc (le bras est le clou, le corps est le marteau), utilisant à la fois le poids du corps, la détente globale du corps utilisé comme un fouet et l’addition des forces de toutes les articulations. Ces qualités sont travaillées dans les trois formes, progressivement, jusqu’à en venir à réaliser le fondement du Qi Gong et de sa circulation dans les méridiens. Interne veut dire se maitriser soi-même et non pas maitriser son adversaire en premier.
Les trois formes (Taos) :
Siu nim tao « petite idée » : c’est la première et la plus importante forme en Wing Chun, qui enseigne les règles d’équilibre et de structure corporelle. Cette forme est généralement considérée comme une forme de Qi Gong complète, cette forme est fondamentale, sur laquelle le pratiquant revient sans cesse.
Chum Kiu : « chercher le pont », « le pont coulant » ou encore « faire le pont ». Cette seconde forme se concentre sur les techniques de déplacements du corps total et les techniques d’entrée pour « combler le fossé » entre le pratiquant et son adversaire, ainsi que perturber sa structure et son équilibre. Cette forme permet d’apprendre les techniques fondamentales de défense. Les attaques de courte distance avec les coudes et les genoux sont aussi travaillées a ce stade.
Biu Gee : « les doigts jaillissants » : La troisième forme est faite de techniques ultra courtes et ultra longues, coups de pieds bas et balayages et techniques dites d’urgence, pour contre-attaquer quand la structure et la ligne centrale ont été mises à mal ou que le pratiquant est gravement blessé. Le pratiquant va apprendre durant cette forme les techniques d’attaque.
Les pratiquants avancés complètent ces formes à mains nues par trois autres formes : celle du mannequin, celle du bâton, et celle des couteaux.
Le chi-sao « les mains collantes » :
Le but du Chi-sao est de développer, ou de créer, des réflexes sensitifs pour réagir à la pression exercée par l’adversaire afin de se créer une ouverture pour frapper. Ces techniques de mains sont particulièrement efficaces, conçues pour le combat rapproché. Les bras restent souples au possible en liaison avec une pression constante vers l’adversaire, quoi qu’il tente, ce qui permet de dévier et contrôler facilement les coups afin de protéger son centre, et de placer ses propres frappes à la moindre ouverture de garde de l’adversaire.
Des techniques similaires existent pour les jambes : Chi-gerk ou pieds collants, qui permettent d’éviter les tentatives de balayages et de projections adverses, elles permettent également de contrôler l’adversaire par une pression sur ses pieds et genoux. La technique d’entrainement pour le travail des pieds confère un meilleur équilibre ; l’enracinement se faisant par la pratique du Qi Gong.
Le mannequin de bois :
De la taille d’un homme, muni de 3 bras et d’une jambe. Il est utilisé par le pratiquant pour améliorer les déplacements, la vitesse et la précision des techniques, endurcir les membres mais surtout pour développer les sensations et réflexes des bras et jambes.
Les armes :
le bâton de 6 pieds et demi qui était la perche pour faire avancer les jonques fleuries. Le bâton de 7 pouces et demi, qui correspond au bâton des moines cultivant la terre du Shaolin.
La paire de couteaux papillons : paire de couteaux d’appontage des bateliers de Hong Kong des célèbres jonques rouges des hakkas. Il s’agit historiquement d’une dérive de la paire de sabres courts chinois.
Hébergement disponible avec chambre individuelle, a 2 ou a 3 personnes. Possibilité aussi pour ceux qui souhaiteraient y participer en famille. Adresse:Kütahya Karayolu 14.km / Afyonkarahisar - TÜRKİYE Transport-Accès: Pour ceux qui viennent en bus: Transport commun (dolmus) partant de la gare routière et passant juste devant l’hôtel (durée du trajet: 5 minutes). Tarifs: Chambre à trois personnes:50 TL par personne/par nuit Chambre à deux personnes:65 TL par personne/par nuit Chambre individuelle:80 TL par nuit Note:Les tarifs suscités comprennent les prix par personne pour une nuit en pension complète.
(Taux de change 1 Euro = ± 2TL)
Réservation & Transport:
Pour vos réservations et moyen de transport vous pouvez contacter M. Sevkan SARISALTIKOĞLU,
par e-mail: sevkanaiki@yahoo.fr ou par téléphone: +905058018901.
* Saturday 29/5/2010: --------------------------- - 10:00 - 12:00 Training - 12:30 - 16:30 Trip to Byblos citadel, visit to the old souk and lunch - 17:00 - 19:00 Training - 22:00 Dinner (Oriental ambiance)
* Sunday 30/5/2010: -------------------------- - 10:00 - 12:00 Training - 12:30 - 16:30 Visit to beirut Malls - 17:00 - 19:00 Training - 22:00 Evening at Beirut Downtown
Hotels offers: ========= * Foyer sagess: ------------------- - Single room 25 $ (US dollars) / night / pers - Double room 20 $ (US dollars) / night / pers - triple room 15 $ (US dollars) / night / pers
* Hotel Port View (3 *): ---------------------------- - Single room 45 $ (US dollars) / night / pers - Double room 38 $ (US dollars) / night / pers - triple room 35 $ (US dollars) / night / pers
* Hotel Le Gabriel (4 *): ---------------------------- - Single room 140 $ (US dollars) / night / pers - Double room 160 $ (US dollars) / night / pers
* NB1: Seminar fee is set to 50 $ (US dollars)
* NB2: Package is set to 150 $ (US dollars) include: (28/5 at 21:00 dinner) + (29/5 at 12:30 Trip to the citadel of Jbeil, visit to the old souk and lunch + at 22:00 dinner) + (30/5 at 13:00 visit to Beirut malls + evening at Beirut downtown) + transportations.
* NB3: Please inform us about your hotel and room choice.
* NB4: Please reply before the 1st of May 2010 to make the necessary arrangement. I want you to send me the number of persons who are coming with you and where do you like to stay. about foyer sagess we have a limited munber of rooms (just 4 rooms with triple beds for men and open number for women).
* for more information do not hesitate to contact: - Fady Atik : fadyatik@gmail.com / 00961 3 329153 - Victor Farah : victor-a-farah@hotmail.com / 00961 3 527240
( photo du stage liban )
Stage lisbonne avec Nebi sensei
Estágio de Aikido com Nebi Vural 6º Dan Aikikai, Director Técnico da União Portuguesa de Aikido
1 de Maio - Sábado 09:00 - 11:00 e 16:00 - 18:00 2 de Maio - Domingo 9:00 - 11:00
€35 adulto estágio completo €15 adulto por sessão Gratuito para menos de 12 anos
Seminar Program: November 13, Saturday 10:00-12:00 General Traning 16:00-18:00 General Traning November 14, Sunday 10:00-12:00 General Traning
Seminar Place: Eskişehir Yunusemre Teknik ve Endüstri Meslek Lisesi Kapalı Spor Salonu Address:Akarbaşı Mahallesi. Şehit Zeynel Toköz Caddesi. No:47- Odunpazarı/ESKİŞEHİR
Note:For hotel reservation or registration, please contact us.
Turkish - Japanese Year Activities and Tamura Shihan Memorial Seminar
December 22-26, 2010
In memory of our recently lost sensei, Tamura Shihan, there will be an aikido workshop held on 22-26th of December within the scope of ‘Japan Year 2010 in Turkey’ . The workshop will be hosted by Middle East Technical University (METU) and Police Academy under the supervision of Aikido and Budo Federation and International Police Association (IPA) . Inclusive of the corresponding event, along with the trainings that will be led by Nebi Vural, student of Tamura Shihan and head of ABF technical committee, there will also take place Japanese Martial Arts demonstrations, presentations and talks. Detailed programme is given below.
Seminar Programme
December 22 - Wednesday 18:00- 20:00 All-Ranks Open Aikido Training– Police Academy, Gölbaşı
December 23 - Thursday 10:00-12:00 Training for instructors only– METU Baraka Sports Hall 18:00-20:00 Training for instructors only – METU Baraka Sports Hall
December 24 – Friday 10:00-12:00 Training for instructors only – METU Baraka Sports Hall 18:00-20:00 Training for instructors only & Dan examination – METU Baraka Sports Hall
December 25 - Saturday 10:00-12:00 All-Ranks Open Aikido Training – METU Gymnasium 15:00-18:00 “Japan Year 2010 in Turkey” events – METU Gymnasium Gala Dinner
December 26 - Sunday 10:00-12:00 All-Ranks Open Aikido Training – METU Gymnasium
La Fédération Turque d’Aïkido et de Budo a le plaisir de vous inviter ainsi que vos élèves au 1er Festival International d’Aïkido qui se déroulera sous la direction de Nebi VURAL Sensei du 18 au 22 mai 2011 à Ankara.
Ce festival sera organisé avec le soutien de l’Organisation Eurasia Aikido et de l’Organisation de la Police International.
Notre but est de réunir tous nos amis qui ont envie de pratiquer l’aïkido dans le sens souhaité par Tamura Sensei. Comme vous le savez, Nebi VURAL Sensei est un des rares élèves de Tamura Sensei avec qui il entretenait des relations privilégiées et qui diffuse aujourd’hui dans le monde entier, l’enseignement qu’il a reçu de son maitre.
Ce sera également l’occasion de vous accueillir et pour nous, le plaisir de vous rencontrer. Nous espérons que vous profiterez pleinement de votre séjour et que vous garderez un souvenir mémorable de l’hospitalité de notre pays.
La participation au séminaire vous est offerte ainsi qu’à vos élèves et les frais d’hébergement seront en partie pris en charge par l’organisation. Nous reviendrons vers vous très prochainement à ce sujet mais votre participation à l’hébergement sera de l’ordre de 20€ par personne et par jour avec le petit-déjeuner inclus.
Étant donné le nombre d’invités, nous souhaiterions recevoir rapidement une réponse de votre part quant à votre participation.
Programme général :
17 mai : Accueil
18/19/20 mai : Aïkido de 10h à 12h et de 16h à 18h
20 mai : 18h30 passage de grade 1/2/3/4 Dan
21 mai :
·Aïkido de 10h à 12h
·Démonstration d’aïkido par chaque pays participant à 15h
·Diner de Gala à 20h
22 mai : Aïkido de 10h à 12h.
Stage Liban 2011
* The Lebanese Aikido Society with the collaboration of Eurasia Aikido Organization announce about their International Aikido seminar for "the memory of Tamura sense" with sensei Nebi Vural (6th Dan Aikikai) that will be held in Beirut - Lebanon on Friday the 8th till Sunday the 10th of April 2011. * The seminar will be... held at Stad Michel El Murr (Dora highway - Beirut - Lebanon). * Training session:
- Friday 8/4/2011 from 5 PM to 7 PM - Saturday 9/4/2011 from 9 AM to 12 PM - Sunday 10/4/2011 from 9 AM to 12 PM * Fee is set to 50 $. * Hotel reservation at Port View hotel:
- Single small room 49 $ per night - Single large room 59 $ per night - Double room 75 $ per night - Triple room 105 $ per night Reservation must be confirmed before 20/3/2011 - Transportation are available. * For more information do not hesitate to contact: - Fady Atik : fadyatik@gmail.com / 00961 3 329153 - Victor Farah : victor-a-farah@hotmail.com / 00961 3 527240
ترأس الوكالة الدولية للطاقة الذرية في عام 1969 ـ في رصيده رسالتا دكتوراه في الفيزياء النووية و نشر حوالي 100 دراسة علمية و كتاب علمي و حوالي 100 عدد من المجلة العلمية "العلم و الإيم...ان" ـ ولد بشير التركي في 21 مارس 1931 بالمهدية و قد تابع دراساته الثانوية في المدرسة الصادقية و دراساته العليا بفرنسا حيث أحرز على شهادة مهندس سنة 1956 و شهادة الدكتورا في الفيزياء النووية بكولاج دي فرانس سنة 1959. و هو العضو المؤسس لجامعة تونس و أول أستاذ فيها و درّس في جامعات عديدة، تونس و فرنسا و الجزائر و ليبيا و القاهرة. و أنجز عدة مشاريع علمية و مراكز للبحث العلمي نووية و شمسية و غيرها في عدة بلدان. و قد تقلد مسؤوليات علمية عديدة منها في الوكالة الدولية للطاقة الذرية بالنمسا حيث كان رئيسها في سنة 1969. وهو من مؤسسي مجلة التجديد سنة 1961 و مدير مجلة العلم و الإيمان منذ نشأتها سنة 1969. و شارك في عدة مؤتمرات علمية و إسلامية و نشر العديد من الكتب و المقالات و الدراسات العلمية عانى من الظلم ككل المخلصين ونال من الأذى و تعرض لمحاولات اغتيال عديدة لكنه لم يحد عن مبادئه وصمد ليمد الأجيال التي من بعده بمشعل العلم مع خلاصة التجربة.. ـ
Le silat est un art martial d'origine indonésienne, vraisemblablement de l'île de Sumatra.
Il est également pratiqué aux Philippines, au Brunei, en Malaisie, à Singapour, dans le sud de la Thaïlande et plus généralement dans ce qu'on appelle le monde malais.
Dans les îles de Java, Madura et Bali, il s'appelle pencak.
La combinaison de Pencak et de Silat a été faite la première fois en 1948 lors de la création de la première fédération nationale, la fédération indonésienne de Pencak Silat : l'Ikatan Pencak Silat Indonesia (IPSI). Pencak Silat est depuis le terme officiel pour désigner l'art de combat des peuples Malais.
En pays minangkabau, dans la province de Sumatra Ouest, "silat" se dit silek. La richesse, en langue minangkabau, du vocabulaire lié au silek permet de penser que c'est dans cette région que l'art martial est apparu.
La pratique du silat et du pencak se caractérise par un grand nombre d'école ou aliran (littéralement : "courants").
On constate que le silat n'existe pas dans la tradition balinaise, même si Bali possède une tradition d'arts martiaux. En revanche, d'autres régions d'Indonésie, notamment le sud de l'île de Célèbes ont une tradition de silat.
Par ailleurs, on observe que jusqu'à très récemment, n'étaient admis dans de nombreuses écoles traditionnelles de pencak-silat que les personnes de religion musulmane.
Enfin, on ne connaît pas à ce jour de sources solides relatives au silat et au pencak antérieures au XVIIIe siècle, époque à laquelle la diffusion de l'islam dans l'archipel est déjà à un stade avancé, du moins dans les régions portuaires.
Ces faits permettent de supposer que le développement du silat et du pencak est lié à cette diffusion de l'islam.
Le silat possède les 3 éléments de base de tout art martial asiatique :
Les techniques de base,
Les enchaînements réglés de techniques produisant un combat imaginaire, appelés jurus,
Le combat proprement dit (avec son corrélat moderne, la compétition).
Deux éléments différencient le silat de la plupart des autres arts martiaux asiatiques, du moins du karate japonais et du taekwondo coréen.
La première est l'existence d'une forme dansée du silat, que dans certaines régions d'Indonésie on appelle bunga ("fleur"), accompagnée d'une musique exécutée avec des instruments traditionnels. Une explication de l'origine de cette forme est l'interdiction imposée par les autorités coloniales hollandaises au XIXe siècle, de pratiquer les arts martiaux. Les formes dansées seraient donc à l'origine une façon de dissimuler la pratique du silat et du pencak.
Inversement, on constate que de nombreuses formes de danse, notamment à Java mais aussi à Sumatra, intègrent des éléments des arts martiaux, y compris dans des cas où la dimension martiale semble totalement étrangère, comme par exemple dans des danses liées aux rites de fertilité et aux récoltes.
La deuxième différence est la dimension rituelle et religieuse du silat.
Par ailleurs, certaines écoles de silat et de pencak se fondent sur l'utilisation de ce qu'on appelle la tenaga dalam, l'"énergie intérieure", qui n'est pas sans analogie avec le qi chinois et le ki japonais.
Les styles suivant les régions sont fortement influencés par les animaux.
Aujourd'hui, il existe un nombre incalculable de styles puisque chacun a la possibilité de créer le sien dans le but de développer la discipline.
Le silat est traditionnellement pratiqué sous une forme de combat rythmique avec des armes, des bâtons ou à mains nues. Il s’agit d’un exercice stylisé basé sur des séries d'enchaînements (ou « drills ») codifiés appelés jurus. Les formes animales sont très importantes dans le Silat, et celles-ci sont réunies sous le nom de langkah, qui désigne les positions et les mouvements nécessaires à la pratique martiale. Ainsi, le langkah Dua ("deux") est une position d’attente et le Tiga ("trois") est une position de garde. Les langkah proposent ainsi un vaste répertoire d’attaques, de parades, et d’esquives. C’est le choix de certaines formes, par rapport à d’autres, qui détermine spécifiquement chaque école de silat.
En règle générale, l’apprentissage consiste à mémoriser une série de langkah de base, décomposés et répétés sous forme de drills. Cette première phase élémentaire se concentre sur la maîtrise d’une position stable. La seconde phase est purement défensive et l’élève apprend à parer et éviter toutes sortes d’attaques des membres supérieurs. La troisième phase se concentre sur l’usage exclusif des jambes : déplacement et attaque. En phase quatre, l’élève apprend les parades et les esquives contre les coups de pied. En phase cinq, il apprend à varier ses positions en ripostant à partir d’une posture très basse. Cette pédagogie de base sera ultérieurement complétée par des techniques de clés, fauchages, projections, par l’apprentissage des armes et d’une douzaine d’atémis appelés «rahasa». Le niveau supérieur consiste en un travail particulier de « danse polémique » où le pesilat doit apprendre à utiliser et placer efficacement ses techniques martiales.
On peut aujourd'hui diviser le silat en 7 branches principales :
les écoles islamiques, dans lesquelles il faut être musulman et savoir lire le Coran pour être accepté ;
les écoles ouvertes à tous, caractérisées par l'aspect self defense et apparues dans les années 1940 (silat moderne) ;
les écoles sportives enseignant un silat de compétition proche de la boxe pied poings ;
les écoles folkloriques, enseignant un silat de démonstration pour les mariages et les touristes ;
les écoles plus ou moins secrètes dans lesquelles l'art originel véritable est enseigné ; leur accès est quasiment impossible sauf sur haute recommandation ;
les écoles chamaniques en voies de disparitions (à cause de leurs éléments hérésiarques à l'Islam), mais qui subsistent encore dans les régions reculées du pays Sunda à Java Ouest en Indonésie ;
les écoles hybrides enseignant un silat adapté aux occidentaux ; ces systèmes se retrouvent principalement aux USA et en Europe.
Aujourd'hui, de nombreux pays veulent en faire un sport national en organisant des compétitions dont quelques-unes se sont déroulées en France, en Belgique, en Autriche, en Hollande et bien entendu en Indonésie et en Malaisie
Charles Joussot :
Professeur de Penchak-Silat Ceinture Noire 5ème dan FFKAMA/FFKADA Conseiller en sécurité Formateur de Garde du Corps Consultant expert auprès de Groupes d'Intervention Fondateur et concepteur de FISFO Créateur de matériel de sécurité, police et self-défense
Charles Joussot a découvert le Penchak-Silat à l'âge de 31 ans, ce fut alors la révélation. Il trouve dans cet Art Martial l'efficacité qu'il recherchait et se reconnait dans cette façon d'aborder le combat.Cette soif d'efficacité, il la met en pratique dans la conception et la réalisatin d'armes de défense et de sécurité que vous pouvez découvrir ici. En 1978, Charles Joussot découvre Maître Turpinj au travers d’un article paru dans le magazine Karaté qui retient toute son attention. A l’époque, Charles Joussot avait pratiqué quelques temps la savate avec le père de Jean Lafond, la boxe anglaise et un peu le karaté. Et ce fut la rupture de toute pratique sportive jusqu’au moment précis où Charles Joussot prend contact avec le Maître indonésien. C'est en 1978 que la rencontre se fait, Charles Joussot a 33 ans et Maître Turpinj lui démontre l’efficacité du Penchak-Silat. Aussitôt, Charles commence son apprentissage et brûle les étapes. En 1984, il ouvre son premier club rue de Dunkerque. En 1987, il ferme ce club devenu trop petit pour ouvrir un club plus grand situé rue de l’Ourq à Paris 19ème, qu’il fermera en octobre 1998 pour partir aux USA afin de continuer l’œuvre de son Maître.
LE BUT DE FISFO :
Former des Instructeurs et Professeurs partout dans le monde pour que FISFO y soit représenté et développé.Après avoir mis ces modules en place et toujours remis à niveau en tenant compte de l'évolution, de l'insécurité, Charles Joussot a créé du matériel de sécurité, de Self-Défense et d'intervention qui sont déjà en vente dans les boutiques spécialisées de sécurité ainsi que sur le site. D'autres produits sont en cours de réalisation.
Programme du stage:
Le stage se déroulera le matin de 9h à 12h et le soir de 16h30/17h à 19h/19h30
pour tout renseignement complémentaire au 06.78.26.30.06
La citation du Ninja : C'est trop bien de se déguiser !
Ninja (n.m.) : Idiot japonais qui se balade sur les toits en pyjama noir et en cagoule la nuit.
Jeanine (n.f.) : Féminin de ninja , aussi appelée "Counieauchi" (et pas Kunoichi, comme on le croit souvent).
Aussi appelés Chieneaubie, ils ont une fâcheuse tendance à lancer des trucs pointus qu'ils appellent Shurikens un peu partout. Parfois ils attaquent aussi des gens qui ne leur ont rien fait avec un machin tranchant qu'ils appellent Katana. Certains ninjas utilisent leur shakira pour faire apparaitre une petite flamme dans le creux de la main ; en général, l'adversaire se pointe avec une clope et dit « Ben ca c'est gentil, merci. »
Attention à ne pas confondre avec le samouraï : lui ne se balade pas en pyjama la nuit, mais en costume ridicule la journée. En général ce costume pèse plus de 50 kg, il est donc assez chaud de se balader ainsi sur les toits discrètement.
Les différents clans ninjas, leurs codes d'honneur et leurs coutumes
Chez les ninjas normaux (les noirs)
Les ninjas noirs ont un code de l'honneur qui est inscrit au crayon noir sur une branche moisie dans une petite impasse sombre de Tokyo, enfin bref, ceci pour dire qu'ils ne s'en préoccupent absolument pas. Mais ils reconnaissent quand même qu'ils en ont un. Ils disent donc "pardon" quand ils donnent un coup de poing mortel dans le sternum. Enfin, ce n'est pas très important. Par contre, il faut savoir que les ninjas n'utilisent jamais d'armes à feu quand un ennemi se présente avec un katana : c'est la règle sans intérêt et stupide de Red Steel
Chez les ninjas jaunes
Les ninjas jaunes n'ont aucun honneur. Ce n'est point qu'ils ne sont pas fiers, stupides et barbares, mais ils ont une mission à réussir, et, non mais, on ne va pas leur permettre de ne pas s'amuser à cause de règles stupides quand même. C'est pourquoi ils ont pu obtenir de la Fédération Internationale des ninjas (FIN) (en vérité, ce n'est pas vraiment FIN) des droits et des libertés pour n'avoir aucune règle stupide, comme en ont certains ninjas, les samouraïs, et les yamakazis. Pas bêtes, les ninjas jaunes. (Pour tout vous dire on les appelle comme ça car ce sont les disciples de Bioman Jaune.)
Chez les ninjas roses
Les ninja roses sont les disciples de Steevy Boulay à qui il a appris ce nouvel art martial qui s'appelle "faire chier son monde". Chaque jour ils doivent écouter au moins 10 fois La vie en rose d'Edith Piaf. Les ninjas roses ne s'habillent qu'en rose (non c'est vrai ?!), ce qui fait en général péter de rire son adversaire. C'est d'ailleurs leur seule chance de remporter un combat. Ils ne mangent que des aliments roses et ne boivent que du lait fraise. Ils ne lisent que des romans de la bibliothèque rose et ne regardent que le dessin animé La panthère rose. Leur code d'honneur est tatoué sur leurs fesses, ce qui est assez embêtant à lire si on est tout seul. D'après des témoignages il se résume à « Vivre en rose et ne pas faire trop mal a l'adversaire
Chez les ninjas blancs
Les ninjas blancs sont très peu nombreux. En effet, tout comme les bébés tigres albinos ils se font latter les couilles par tous les prédateurs. Eh oui, les ninjas blancs sont repérables de loin étant donné qu'ils sont tout de blanc vétus. Quels cons ces ninjas blancs !
On remarque une migration vers les pays enneigés pour une raison de couleur, mais leur uniforme n'étant pas assez chaud leur durée de vie est assez limitée.
Chez les ninjas bleus
Les ninjas bleus, tout comme les ninjas blancs sont une espèce en voie de disparition. Leur chasse en pleine mer est très prononcée, surtout par les ninjas noirs qui apprécient les sushis (vrai nom des ninjas bleus). C'est de là que viennent les marées noires.
Chez les ninjas rouges
Les ninjas rouges sont des mercenaires envoyés par les ninjas noirs afin d'accomplir certaines missions (c'est vrai, pourquoi ils iraient salir leur beau costume tout neuf qui sort du pressing ?). La plus courante reste Tuez les ninjas bleus, découpez-les en fines tranches, mettez-les sur du riz vinaigré et vendez-les surgelés, tout le monde se précipitera quand ils entendront qu'il y a des sushis aux testicules de ninjas bleus ! Yark yark yark ! Ah au fait oubliez pas les croissants.
La particularité des ninjas rouges est que ce sont tous des intellos qui écoutent du Mozart en lisant Nietzsche et en dégustant une tasse de thé au jasmin. Mais alors la question est : « S'ils sont si intelligents, pourquoi risquent-ils de salir leur costume ? »
Je dis « Hou hou hou (rire bougeois), mon jeune ami, les ninjas rouges ont un costume rouge enfin ! Aucun risque donc de voir une tache de confiture de fraise, de vin rouge, de tarte aux cerises, ou de sang s'ils aiment la viande saignante ! Pour tout vous dire, être mercenaire-intello-ninja, ça paye bien, en plus on a un super uniforme et un véhicule de fonction (ninjamovible). »
Les ninjas rouges aiment leur métier, et nous les comprenons. Pour devenir ninja rouge, appelez le Sachant qu'un nain a commandé un menu à douze francs belges, avec une part de tarte au maroille, quel est le numéro de téléphone à appeler ? (seuls les vrais intellos savent ça) et dites « rouge ».
Chez les ninjas verts
Ces ninja sont souvent pourvus de carapace. Aussi appelés Tortue Ninjas, ils étaient très répandus dans les année 90. Aujourd'hui les tortues étant en voie de disparition ces ninjas changent de couleur afin de survivre.
La panoplie du ninja
Habits
Les 3/4 ninjas sont tout de noir vêtus. Ils aiment les combinaisons moulantes, ça plaît aux filles, et puis dans les films tous les ninjas sont comme ça. Regardez un vieux film d'action japonais de Jackie Chan, par exemple.
Sur lui
Les ninjas aiment ne pas avoir l'air armé, mais l'être quand même. C'est pourquoi ils prennent des combinaisons moulantes. Mais à part ça, ils s'arment des fameux shouriquaines, décrits plus haut sous une autre orthographe, et parfois ils louent les services d'un ninja coup, pour pouvoir se péter de rire quand il danse. Ils aiment aussi les poignards, les sauts acrobatiques et les séries américaines.
La panoplie classique du ninja est composée de :
Une combinaison moulante noire de préference.
Un bandana de la même couleur que la combinaison, avec écrit sur le front, en grosses lettres, "NINJA", histoire de pas être confondu avec un vulgaire type en pyjama.
Un sabre, une épée, une bouteile de saké brisée... en fait tout ce qui est long, pointu et qui fait bobo.
Des trucs à lancer : Chouriquaines, bouts de verre de la bouteille de saké, CD-ROMs, endives (uniquement pour les ninjas rdins), etc... en fait tout ce qui est léger, assez petit et qui fait bobo.
Des trucs pour faire de la fumée (et donc se barrer) : fumigène de petite taille, une 2CV dont le moteur est mal entretenu, un prout à l'ail (celui-ci permet d'eloigner les ennemis en plus de les aveugler) etc.. en fait tout ce qui fait de la fumée épaisse et qui si possible fait bobo au sens olfactif.
Des parchemins explosifs, des trucs pour invoquer des créatures, un mage noir, Gandalf etc... en fait tout ce qui est magique et qui fait bobo.
D'autres objets peuvent s'ajouter à cette panoplie, en fait tout ce qui permet d'attaquer de loin et qui fait bobo.
Pas sur lui
Ce que les ninjas n'ont pas sur eux, en général c'est privé, mais cela comprend souvent une maison, une femme et des enfants. Les ninjas n'ont pas peur d'affronter le danger, la mort et les génériques de Bernard Minet. C'est pourquoi ils tuent leur famille avant de devenir ninja.
Les pouvoirs du ninja
Une représentation d'un ninja. L'artiste était en fait en train de dépeindre une corbeille de fruits, et c'est seulement lorsqu'il eut terminé son chef d'œuvre qu'il réalisa qu'un ninja se cachait devant lui depuis le début !
Comme mentionné précédemment, les ninjas possèdent des pouvoirs plus qu'hors du commun puisqu'ils peuvent manipuler les éléments. C'est pour cela que les ninjas se déplacent généralement par groupe de 5. Un contrôle la terre, un autre le feu, un autre l'eau, un autre l'air, et le dernier baise Milla Jovovich pendant que les autres se contentent de leur main droite.
Mais le principal pouvoir du ninja réside dans sa furtivité. En effet un ninja peut être là et pas là en même temps. Dément non ? c'est à dire qu'il peut dissimuler sa présence même s'il se trouve bien en évidence en face de vos yeux. Tiens : d'après vous pourquoi n'observe-t-on pas de ninjas en plein jour ? Ils sont pourtant bien là !
Le seul être pouvant battre un ninja est Chuck Norris car le ninja est à Chuck Norris ce qu'Ève est à Adam.
Qui est le plus fort entre un ninja et un pirate et pourquoi?
Une étude islando-pakistanaise a démontré par A+Z que les ninjas et les pirates faisaient jeu égal.
Les ninjas savent tous nager, mais pas tous les pirates (voir One Piece). Ninjas 1 — Pirates 0
Les pirates ont un pouvoir que n'ont pas les ninjas : Leur haleine fétide à la Haddock. Ninjas 1 — Pirates 1
Les ninjas ne sont pas recherchés par la marine eux ! Ninjas 2 — Pirates 1
Mais ils sont tout de meme recherchés par le clan adverse... Ninjas 2 — Pirates 2
Les ninjas sont bourrés après « Yohoho et une bouteille de rhum ! » le fameux jeu des corsaires, alors que les pirates ont juste envie d'aller pisser : Ninjas 2 — Pirates 3
Les ninjas sont faits pour tuer, les pirates pour piller — or l'argent vaut moins que la vie : Ninjas 3 — Pirates 3
Les ninjas s'habillent en général en noir , les pirates ont des fringues stylées : Ninjas 3 — Pirates 4
Les ninjas savent manier un sabre, les pirates eux les utilisent comme des tapettes complètement n'importe comment : Ninjas 4 — Pirates 4
Naruto se vend mieux que One Piece : Ninjas 5 — Pirates 4
Mais les gens au QI élevé préfèrent One Piece à Naruto : Ninjas 5 - Pirates 5
Les pirates ont réalisé des films plus vendeurs que les ninjas (Pirates de Caraïbes 1, 2, 3 ) : Ninjas 5 — Pirates 6
Chuck Norris se bat comme un ninja : Ninjas 6 — Pirates 6
Nan mais c'est nimporte quoi, Chuck Norris d'abort c'est démodé, Chuck Norris il pue des pieds, il a des poils dans les oreilles, il brule des mangas et il écoute Tokio Hotel. Ninja 6 — Pirates 7
Savez-vous que ce sont les ninjas qui ont inventé ce fameux plat anglais nommé Le Vomi (prononcer 'BEAUAAARH!) Miam miam ! Ninjas 7 — Pirates 7
Goldorak ressemble de loin à un ninja. Ninja 8 — Pirates 7
Les pirates sont nos amis, il faut les aimer aussi... Ninjas 8 — Pirates 8
Les Ninjas sont admirés par les animaux, surtout les tortues. Ninjas 9 - Pirates 8
Les crocodiles sont très attachés aux pirates, surtout à leurs mains. Ninjas 9 - Pirates 9
Pourquoi cette lutte du pouvoir entre les ninjas et les pirates ?
En fait, par lutte de pouvoir entre les ninjas et les pirates, il est necessaire de comprendre la position de chacun. Tous sont debouts (la majorité du temps) mais certains vivent sur des toits, d'autres sur les bateaux. Les ninjas furent donc les premiers à attaquer publiquement les pirates, lors de la glorieuse bataille finale de black pearl. Ces derniers voulaient que soient détruits tous les navires ne possedant pas de toits (très rares en effet). Les années de combats passèrent et bientot plus personne ne sut pourquoi elle avait commencé. Ce n'est que plusieurs siècles plus tard qu'on vit apparaitre un courant musical chez le ninja, avec un certain Shuriken qui chantait, qui retraça maladroitement cette épopée. Les derniers pirates restants comprirent enfin que cette lutte avait assez duré. Étant donné le salaire et les conditions de travail des pirates, beaucoup abandonnèrent leur travail pour se mettre a l'informatique (quelle idée, des pirates informatiques, on aura tout vu !) tandis que les autres rejoignirent les ninjas, fondant un clan autonome, les ninjas bleus, comme pour rappeler la couleur de l'océan.
Comment devenir un ninja ?
Officiellement, c'est impossible, mais d'après des sources sûres diffusées illégalement sur Internet, l'opération ne serait en effet pas trop compliquée.
Pour commencer, il faudra vous munir du vetement officiel. Pour cela, votre supermarché habituel devrait faire l'affaire. Trouver les pyjamas et choisissez environ 4 tailles inférieurs à la votre. Ensuite, il vous suffit de le teindre en noir furtif (teinture qui parait noire la nuit et transparente le jour, attention donc à ne pas faire la teinture de jour, sous peine de perdre le pyjama). Direction ensuite l'armurerie la plus proche de chez vous, pour acheter un Katana et des Shurikens. Attention, ceux-ci ne doivent pas être tranchants. En effet, les coupures peuvent être dangeureuse avec vos futures cabrioles.
La partie la plus dur commence après, pour rechercher un maître ninja. Certains ont écumé tout le Japon pour en trouver sans jamais réussir, le plus simple sera donc de vous connecter sur internet à un site de rencontre. En effet, les dernières enquetes PSO du Japon révèlent que 4 maîtres ninja sur 5 sont inscrits sur un site de rencontre. Tentez donc votre chance ici, mais n'oubliez pas que vous devez être furtif... donc pas de contact en MP, fondez-vous dans la masse.
Apres cela, votre entraînement pourra commencer, et vous serez officiellement nommé ninja dès lors que vous aurez seul réussi à tuer 50 ennemis en moins de 43.2 secondes.
"Interview conducted by Guillaume Erard and Ivan Bel. Original versions are available in French, Italian and English on http://www.guillaumeerard.com"
I had been trying to conduct an interview with Christian Tissier Shihan (7th dan Aikikai, head of the French Aikido Federation FFAAA) for quite some time now. Eventually, thanks to his good will and his kindness, things became possible. There are very few interviews of him published in English so I thought that this would be a great way to introduce Sensei to the English-speaking Aikido practicioners.
After a very dynamic morning class, we went for a very pleasant lunch with Christian Tissier and some comity members of the AFA in a lovely brasserie in Brussels. There we had an informal talk and the two Shihan of the day (Christian Tissier had just awarded Dany Leclerre with this distinction on behalf of Doshu Moriteru Ueshiba that very morning) shared many colourful anecdotes about their many years of practice. We then headed back for the afternoon class and it is later in the afternoon that Ivan (my colleague from Aikidoka Magazine) and I met Sensei again in his changing room to finally ask him all the questions that we had prepared for so long. He pointed very intense blue eyes on us, giving us his complete attention for over an hour (almost forgetting heading back to catch his flight in the process…). He answered questions with great precision and a disarming honesty which made the interview all the more interesting and enjoyable. We mainly went through the specificities of his teaching as well as the general organisation and functioning of Aikido.
I wouldparticularlylike to thank Dany Leclerre Shihan, François Warlet and Paul Van Lierde from the Association Francophone d'Aïkido for their help and for their warm welcome in Belgium.
Guillaume Erard: Rather than going through your youth and years inJapanover again let us investigate your practice a little more. When one sees you perform an Aikido technique, the amplitude and the gracefulness of your motions strike first. Is aesthetic an important part of your research?
Christian Tissier:No, in Aikido, we are trying to reach the purity through gestures in spite of a physical constraint represented by our partner/adversary. As a consequence, as soon as this conflict is going to be resolved, keeping in mind a research towards precision, placement and economy, the motion will be closer to purity. If it is pure, then it is natural and therefore, it is beautiful. As you see, the aesthetic is not an aim in itself. Aikido is a martial discipline but it is also an art and as soon as we use the body in from this perspective, we must work on the purity of the gesture. Aesthetic is the final outcome of all this work.
Ivan Bel: When you practice, you seem totally relaxed. In fact, during the seminaryoujust gave, you showed that if we get blocked by uke, we can conserve this relaxed state by just changing to another movement.
C.T.:that is not exactly true. My conception of a martial art is that if there is a block, we should not say “I can’t do that, therefore I have to do something else”. Actually, I try to do the opposite, if there is a difficulty, I do not try to avoid it but instead, I try to find an appropriate solution by changing angle or posture but not technique. That is what I was trying to show you during the seminar, in particular on kotegaeshi. Quite often on this technique, we feel that we cannot go any further for a whole variety of reasons. As soon as we cannot go further, no point trying, it means that we came to the end of that action, however, another action has to start as a result and we should not try to escape the contact.
To answer your question about the relaxed state, one of the aims of Budo is the suppression of fears. Wanting to become stronger than everybody else has no meaning. We should just be working on trying to overcome our own apprehensions. This is why the educational system that we put in place during an Aikido class has as an objective to suppress situations of refusal, exclusion, and non-communication. The more we will suppress these fears, the more we will find easy to go towards the others but it does not mean at all that we will become invincible. In my opinion, a well mastered, purified technique will allow us to work on ourselves and trigger an easy way of communication through the movement. Relaxation arises from that.
G.E.:About communication, you put a particular emphasis on the relationship that must exist between Tori and Uke, where both must try their best to help the other improve. This is however often regarded as connivance.
C.T.:Seeing things like that show a very poor interpretation of this relationship. There can be no teaching system without codes. If we decide to plays tennis together, I will not turn up with a baseball bat, otherwise we will find very difficult to play together. Whatever the system, we will define codes. We wear white keikogi, this is a code; we practice on a tatami, this is also a code. Then we will decide to do katatedori from a static position, this is a code too, there is no action. We don’t push or pull; we let the partner perform his technique. We establish codes at the beginning and from these codes, we will organise the structure the technique.
Of course, at the beginning, there will probably be almost no sensation. For example, wewill talk about tenkan linked to the centre but in the beginning, we will just see a pivot and perhaps the idea of both partners looking in the same direction but no connection really. However, if you work with a Uke who is better than you, he will put you in a situation where you can understand what you are looking for.
At the end of the day, what interests me most is being able to practice with people whose codes are different from mine and to make it work nonetheless! That is precisely why I like to practice with people I don’t know, beginners, tall people, big people, karateka, judoka and so on. I like practicing with everybody because it shows that the technique can work without codes: this is the application of the technique. But before getting there, the learning process has to rely on codes.
There are of course some education systems that are totally different from mine. Some are very strict and precise but sometimes so stuck within their own codes that they can’t free themselves from it. That is a shame…
I.B.: We are often told that Aikido is based onto two great principles: irimi and tenkan. Seeing you, it seems that you emphasise more on the latest with big spiral motions. Is it a choice of yours or simply a way that fits with your body?
C.T.:Frankly, I have the feeling that I am practicing an aikido of irimi. The confusion might come from the fact that we do not have the same notion of irimi. Irimi is not about smacking the partner across the face each time he moves or leaves an opening. For me, irimi is about getting to the core of the movement. Ma sensitivity in terms of practice comes a lot from Kenjutsu (Kashima Shin Ryu) and this type of work is very direct. Then again, it depends of everybody’s definition of irimi and tenkan but I really think that physically and mentally, my Aikido is more irimi than it is tenkan.
Regarding the spiral, this is again an irimi motion. The spiral has a core; therefore, each time we will find the ideal position around which to turn, we will take up speed and get toward the centre. In the end, we will enter towards the partner. At that particular moment, we are totally irimi!
G.E.:You often say that Aikido is an education system based on a martial discipline. According to you, what do people develop through the practice of this discipline?
C.T.:Well,that is very variable according to the individual but if we speak of Aikido in terms of education system, we must not forget the martial frame. This martial aspect has specifically been chosen. We could have chosen painting, sculpture, Zen are many other things. What sometimes pushes people towards martial arts is a taste for fighting or confrontation. In a martial discipline, there are intrinsic notions of constraint and sanction. Our education system which aim is to make us progress as human beings will rely on this martial context. Each mistake should be sanctioned, either by the teacher or by the impossibility to perform the technique but because we are on the mat, we get a new chance to start over. We must take advantage of this new chance, not to repeat the same mistake but to resume a motion in which that particular error is erased.
Idon’t agree with people who say that to progress is to do better. For me, progression means making less and less mistakes, perfecting our movements and not presenting any opening. The essence of Budo is the absence of openings, waki ga nai, which means never leaving an opening, either through our actions or our words. In one of my books, I had copied the following citation from an etiquette school called Ogasawara. On the main gate of this school is written: “When you are correctly seated in the ideal position, even the rudest person cannot disturb you”.
It is our behaviour that allows us not to leave any opening. The martial education offers what I call “constants of the Way” which will be attitude, management of distance and vision. These three constants work together. It is not very difficult to put into practice, we can already say that this is martial arts but nothing happens yet: we are not into the motion. In order to get into the motion, we will have to summon another natural principle, the technique. Why is it a natural principle? Because since the beginnings, people have tried to develop techniques in order to perform tasks more easily and efficiently. The notion of technique cannot disregard the other natural notions. This is therefore just something that adds itself up. A well performed technique creates an economy of movement and energy. The principle of economy is also natural. This is what we should try to reach.
On top of all that, you can add principles such as communication, research of purity etc. I really think that there are some Aikido principles that have not yet been discovered but that are nonetheless natural and that we will have to add to our education system in order to enrich it.
I.B.: About natural principles, we often hear about Ki, the energy flow. You don’t speak much about it though…
C.T.:No I don’t. The reason is that it is a very confusing notion. I have seen quite a bit in Aikido, I have met quite a few Senseis and I must say that the ones who speak of it the most are often the ones who have the poorest technique. Of course, this is not true for everybody but Ki is not tangible. Ki is within us. There is Ki everywhere, either we know how to use it or we don’t. The fundamental issue with Ki is its flow. In terms of Aikido vocabulary, we have Ki and Kokyu, which is the vehicle for Ki. The translation of Kokyu is “breathing” but to be more accurate, in reality, Kokyu is the exchange between the two.
The bottom line is that if you practice with your stiff shoulders up to your ears, the Ki won’t flow, any acupuncture practitioner will tell you. As a consequence, until the technique is perfect, there will be no Ki, no natural flow. To me, people who really have Ki don’t feel it because everything happens naturally within them.
We could of course develop exercises such as the ones proposed by Qigongin order to specifically work on breathing. We could also specifically work on flexibility or other things but to what end? I consider Aikido as a whole system that as been well thought. It is therefore useless to concentrate on only one aspect of the art, in particular if it is to the expense of practice time. If we have to specifically work on flexibility, we can go to a specialist, same for breathing but we should not mix everything up.
To get back to the Ki I prefer not to say too much about it as I think the discoursesabout this topic are often very misleading.
I.B.: Your choice is therefore to focus solely on the technique.
C.T:That is right because the technique will unlock the body! Once you have unlocked your body and removed all fears, the gesture will be fluid and this will allow more kokyu. If you add an intention to this kokyu, the Ki will naturally occur.
G.E.:Everyone knows you had a very strong bond with Seigo Yamaguchi Sensei;however, you developed a style that is very different from his, in appearance at least.
C.T.:In fact, there are two masters who had a great influence on my practice. The second Doshu (Kisshomaru Ueshiba) was an important model to me, in particular for the basic techniques. I also owe a lot to Yamaguchi Sensei technically of course but also for many other things such as freedom, applications and rigour. Him and I, we had a sort of father-son relationship to such extend that at the end of his life, he wanted to buy a house on the south coast of France in order to be living closer from me.
Toanswer your question, I don’t know whether I do things like him or not, this is not mypurpose as a teacher. In fact, he did not want us to be the slaves of his technique and he would probably not have been happy if I had become his clone. I mostly integrated the principles he transmitted to me.
G.E.:We sometimes hear about a pre and post war Aikido dichotomy. If at all, you have been one of the main actors for the evolution of Aikido inFranceand abroad. In your opinion, what has changed in Aikido?
C.T.:I find this question rather amusing because when I returned fromJapan, people said that what I was doing was different. The thing is that I was just back from seven years spent at the Aikikai. From my perspective, it is the people who stayed inFrancethat were doing something different. I was only repeating what I had learnt at the Hombu Dojo, I did not invent the techniques. Moreover, I had been recognised by my peers at the age of 24, close student of the Doshu and much attached to Yamaguchi Sensei so I really don’t think that I have been the actor of a change in the practice of Aikido. One should not mistake what one thinks Aikido is and what is really being practiced at the Aikikai.
When I arrived inJapan, I was a second Dan from Mutsuro Nakazono Sensei and I had been to all the summer courses of Nobuyoshi Tamura Sensei so I thought I had a pretty good level. Once I got to the Hombu Dojo, as I saw the Doshu Kisshomaru Ueshiba, I really wondered what he was doing. It was very different and all my certainties had to be challenged and corrected. I fact, I have to say that at first, I did not like what I saw when I met the Doshu, I thought he was stumbling. Of course I was wrong; I only knew what I was used to. These discrepancies between what we think we know and what is; are what leads us to think that there was an evolution.
There is however one sort of evolution going on, it is the evolution of a teacher during his lifetime. I remember Miyamoto Sensei, at the time, inJapan; he only practiced to destroy his partner. Nobody except the group I was in wanted to train with him. Nowadays, he is a charming man who takes care of his Ukes on the mat but of course, he is 60 now. He changed, as does everybody. What I mean is that when we are 20 years old, we must behave as a 20 years old on the mat too but we must also accept that we change in practice, status and age of course.
To finish, of course Aikido, as any other discipline, had an evolution. If we compare the Ukes of the beginnings with people today, the difference is significant. It is easy to explain because the Ukes from the beginnings were judoka. Today, practitioners move more freely, more spontaneously, faster so of course, the technique is not the same as in the beginning. I will try to explain to you what I mean. When I was a kid, when even a mediocre karateka was delivering a mawashi geri to the face of the opponent, it left us in admiration. Nowadays, kids are so used to video games and movies that they are used to see a guy doing six turns around himself before even kicking. Youngsters are therefore harder to impress, they live within a fantasy about martial arts that does not fit reality anymore. The imagination as changed as well as the conception of the techniques and their applications. This is normal and Aikido changes following this principle.
We cannot say thatAikido is fixed; it changes constantly, thanks goodness for that, otherwise, if students don’t become better than their teachers, in 50 years, there won’t be any Aikido anymore! What do not change are the principles.
I.B.: About the fantasies with which kids who play video games deal with, do you feel that there is a gap with the new generations in terms of attitudes and values?
C.T.:Frankly, I don’t know. Maybe this is the case but I think that young people whocome to Aikido understand well the difference. To start with, they accept a whole lot of rules that they would not necessarily accept at home or elsewhere. Then, the respect etiquette, community life and come to train regularly. Maybe we seem to them like dinosaurs but what is most important is the behaviour that we have ourselves and the example we give them. If, as teachers, we are able to detect a dedicated or talented kid, they are also able to make out if you are a model, if you have the natural authority or if you are just an old fart. In my opinion, the key to success is to be able to deliver messages to young people without having to act as youngsters ourselves.
We have to be honest and direct, that is all. In terms of practice, it is wrong to believe that kids are not willing to make efforts and sacrifices. A kid who practices seriously tektonik or break dancing we deliveras much effort as the one practicing Aikido. Both are just as difficult!
I.B.: Now, let’s talk a little bit about politics. You just awarded on of thevery rare Shihan titles given to non-Japanese to your friend Dany Leclerre (7th Dan fromBelgium). You were the very first non-Japanese to receive this distinction, does it bring back memories?
C.T.:Well, the truth is that for me, things were not so simple. When I was a 6th Dan, nothing was formalised, I was sometimes receiving letters, either from the Aikikai or from Endo Sensei where they referred to me as “Tissier Shihan” but it was not clear since this title was not being officially awarded at the times. After a while, a polemic started to appear, originating from and article published in Aikido Today magazine (American magazine edited by Susan Perry between 1983 and 2005, stopping after 100 issues) where Mitsugi Saotome Sensei and other Shihan were giving their opinion on the subject. From that, the Aikikai decided to make things clear by officially awarding the title.
The title of Shihan is either awarded to a country or to an individual. Today, we awarded it toBelgiumthrough Dany Leclerre, kind of a thank you gesture for all what he did for Aikido but also to make sure that everybody knows that he is the one in charge of the transmission of Aikido in this country. It doesn’t mean that he will be able to grade people around the world though. Others can do it however, each case is different. It is still a bit of a complicated business alright...
G.E.:As far as we know, there are only about 15 non-Japanese Shihan that have officially been awarded by the Aikikai, it is very little. Are the Japanese still quite protectionists?
C.T.:Indeed this is very few. Of course they are doing protectionism, towards the Aikikai in the first place. Everybody knows that you have to wait for some time between Dan grades. This rule applies for the whole world except for the Japanese uchi-deshi [live in students] of the Hombu Dojo… These guys are from the house so as soon as they travel abroad, they quickly get promoted. Anyway, that is part of the game, and we know who is who so there is no real surprise with this system. Everybody knows what everyone is worth. They also know themselves what to expect from non-Japanese masters.
I.B.:With the general level of skills increasing, will there be a time when we don’t needJapananymore?
C.T.:Yes, we now can do withoutJapanas much asJapancould do without us. However, I think it is very important not to underestimate the interaction that exists between the two. For example,Japancould not really do without us in terms of diffusion of Aikido with for example our national organisations and the international federation that give them credibility beyond of their own frontiers. It is also important to realise that a Sensei inJapanis only known within his dojo and the ones of his students. Don’t think that these guys teach seminars with 300 people, far from it. They have to come toEuropeto see that happen. For q young teacher in his fifties, coming toEuropeis a huge gain in credibility for him. On the technical level, we are as competent inEuropeand in theUSto teach Aikido but I think it is always interesting to go back to the origins because the teaching is different. What the Japanese lack is the systematic analysis of Aikido. Thankfully, not everybody is like that but in general, pedagogy is not their one of their strength! If you ask why a technique is like this or like that, they will just answer you “because it is”. This is the kind of typical answers you get inJapan. As a consequence, an 8th Dan Sensei fromJapanwould probably fail the Brevet d’Etat [French teaching qualification] here. I have often discussed about this with Seishiro Endo Sensei. Even though he is my Sempai, he sometimes asked me if such and such technique existed in the Ura version. Our pragmatic logic and our sense of analysis allowed us to deconstruct very early on the techniques and to classify them. We bring a lot to the Japanese on that respect.
On the opposite, we don’t have the same culture and we don’t have the same way to deal with problems. The Japanese often allow you to question yourself on very subtle notions and this is a great way to progress. Japanese will make you doubt because it obliges you to reconsider what you know.
To sum up, yes, we could do withoutJapanbut both would lose a lot.
G.E.:Let’s talk now about the FFAAA (French Aikido Federation]. People don’t really know what your position in this organisation is. Some people often call you the boss of the federation. What exactly is your role?
C.T.:To be absolutely clear, I am at the origin of the FFAAA. I even chose its name. Without me, it would not exist. That being said, I did not really intend to create it and I am not that proud of it either. It happened mainly because of the circumstances at the time. At that time, Aikido was part of the Judo federation [FFJDA].I had a meeting at my house with Tamura Sensei and as we were eating, he asked me: “If we leave the FFJDA, would you follow me?” At the beginning, I was all for it but I soon realised that it was in fact a political manoeuvre with some very disputable positions. Eventually, I did not follow the movement but it was not to be against anybody. It is just the way that it happened that disturbed me. I think the separation from the FFJDA was a mistake. We had many advantages to be with them in terms of installations and we would have had ourindependence eventually, like the Karate with the FFKAMA [French Karate federation] or later, the Taekwondo with the FFKAMA. We would just have had to grow with serenity to take our independence naturally. After the separation, I ended up more or less on my own. The young teachers around me such as Philippe Gouttard were only 2nd or 3rd Dan. We really were a federation of children (laughs). That was in 1982, and even though I was a bit better off technically, I was only 31. A few people who did not like the way it was done either stayed with me like Paul Muller or Louis Clériot amongst others. We then called Jacques Abel and we structured the federation. Pierre Guichard, who was the national technical director of the Judo and the successor of Courtine, came to ask me if I wanted to become national technical director for Aikido. This was quite a huge offer, it was a ministerial appointment. Out of respect for the other people who stayed with me, I decided not to take it, perhaps I was wrong.
I am the head of the federation only because almost all of the regional technical directors except 7 or 8 are from my dojo. I am therefore the leader but only because of this fact. I have never wanted to claim an official status. In fact, some people are blaming me for this because as a consequence, there is no real hierarchy within the federation. That is just the way it is, perhaps it will change one day. This system doesn’t disturb me at all. My true role is to represent the federation on the international level. I have no official post on that either however. Oh yes, sorry I have one, I am a member of the technical college but I never go (laughs). I am probably seen as some sort of a renegade, not very easy to handle.
I.B.: That is really surprising to hear that from you!
C.T.:But that is the truth! If I really wanted to take the power it would be very simple, I would just have to go to the direction of the FFAAA and ask to become the boss or else I leave. This would of course create a big problem.
G.E.:Let us finish by the traditional question; do you have a message for the readers?
C.T.:In fact I do. We just talked about the two federations. In my opinion, it is a real shame that there are two federations in France, in particular two federations that do not get along very well. However, we should consider ourselves lucky, there are only two! In some countries, there are 7 or 8. I will go soon toIsraeland I have been told that here were 27 different groups over there for a very small amount of practitioners. As you see, it could be a lot worse.
I would like things to be very clear, I have always had the greatest respect for Tamura Sensei and I think he knows it. He is a great master who fully deserves the recognition he has. In the future, would like more connections between the groups. Even if the techniques and the conception of the grading are different, we must remember that we are all doing Aikido and that we share the sameprinciples. We must learn to get along.
Personally, I sometimes feel closer to some people from the FFAB [the other French federation of Aikido] than from my own. For the moment, thingsare as they are and we do our best to run the dual headed system. If I was running the FFAAA, I would probably run things a bit differently but I don’t plan to do it in a near future. We must therefore show some good will in order to make communication easier and allow practitioners to appreciate each other.
A.M.: Thank you very much Sensei, enjoy your flight and see you soon onthe mat.